Hugo Roy 9 years ago
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@@ -76,7 +76,7 @@ Récemment, le gouvernement français est intervenu devant la Cour de
 justice de l’Union européenne pour défendre le principe de la rétention
 justice de l’Union européenne pour défendre le principe de la rétention
 généralisée des données de connexion. Pendant son intervention, le
 généralisée des données de connexion. Pendant son intervention, le
 gouvernement a poussé sa logique encore plus loin en [allant carrément
 gouvernement a poussé sa logique encore plus loin en [allant carrément
-dans l’absurde]) : en gardant des données sur tout le monde, il estime
+dans l’absurde] : en gardant des données sur tout le monde, il estime
 qu’on peut aussi s’en servir pour les droits de la défense, pour
 qu’on peut aussi s’en servir pour les droits de la défense, pour
 permettre au suspect de prouver son innoncence ! En droit, c’est le
 permettre au suspect de prouver son innoncence ! En droit, c’est le
 monde à l’envers : la fin de la présomption d’innocence. On ne doit plus
 monde à l’envers : la fin de la présomption d’innocence. On ne doit plus
@@ -167,7 +167,7 @@ Pourquoi avons-nous fait ce mémoire sur ce point si précis ? Pour le
 comprendre, il faut remonter à notre précédente procédure, celle contre
 comprendre, il faut remonter à notre précédente procédure, celle contre
 le décret d’application de l’article 20 de la loi de programmation
 le décret d’application de l’article 20 de la loi de programmation
 militaire, dite LPM (dont on retrouve des bouts dans la loi
 militaire, dite LPM (dont on retrouve des bouts dans la loi
-renseignement, intégré au chapitre *accès aux données* de connexion du
+renseignement, intégrés au chapitre *accès aux données* de connexion du
 code de la sécurité intérieure).
 code de la sécurité intérieure).
 
 
 Bien qu’il s’agissait d’accès aux données par les services de
 Bien qu’il s’agissait d’accès aux données par les services de