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@@ -76,7 +76,7 @@ Récemment, le gouvernement français est intervenu devant la Cour de
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justice de l’Union européenne pour défendre le principe de la rétention
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généralisée des données de connexion. Pendant son intervention, le
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gouvernement a poussé sa logique encore plus loin en [allant carrément
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-dans l’absurde]) : en gardant des données sur tout le monde, il estime
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+dans l’absurde] : en gardant des données sur tout le monde, il estime
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qu’on peut aussi s’en servir pour les droits de la défense, pour
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permettre au suspect de prouver son innoncence ! En droit, c’est le
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monde à l’envers : la fin de la présomption d’innocence. On ne doit plus
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@@ -167,7 +167,7 @@ Pourquoi avons-nous fait ce mémoire sur ce point si précis ? Pour le
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comprendre, il faut remonter à notre précédente procédure, celle contre
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le décret d’application de l’article 20 de la loi de programmation
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militaire, dite LPM (dont on retrouve des bouts dans la loi
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-renseignement, intégré au chapitre *accès aux données* de connexion du
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+renseignement, intégrés au chapitre *accès aux données* de connexion du
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code de la sécurité intérieure).
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Bien qu’il s’agissait d’accès aux données par les services de
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